Pierre Rhéaume
Ça vient d’ici! Un terroir humain et local
PUBLIREPORTAGE
Ça vient d’ici est une idée porteuse que la famille IGA Jodoin et le Journal Mobiles ont souhaité mettre de l’avant. Elle se veut un hommage aux artisans de notre terroir, aux producteurs et productrices ainsi qu’aux transformateurs. La famille IGA Jodoin, en tant que détaillant, se fait un point d’honneur de les encourager et de vous les faire découvrir.
La récente initiative d’inciter chaque Québécois et Québécoise à acheter l’équivalent de 12 $ par semaine de produits agricoles du Québec est un bon exemple. Si chaque ménage substitue 12 $ de produits étrangers par des produits québécois dans son panier d’épicerie hebdomadaire, c’est 1 milliard $ supplémentaire, chaque année, pour nos producteurs et productrices, pour nos pêcheurs et pêcheuses ainsi que pour nos transformateurs, mais aussi pour toute l’économie du Québec qui en profite. Le gouvernement investit ainsi 157 millions $ pour faire la promotion des produits québécois, pour augmenter l’offre d’aliments d’ici, pour accroître la productivité des entreprises du secteur bioalimentaire et multiplier leur nombre. Ces mesures permettront de créer 3 800 emplois.
La famille IGA Jodoin n’a cependant pas attendu cette annonce. Déjà, depuis quelques mois, elle encourage plusieurs petits producteurs de la région tout en se faisant un devoir de nous approvisionner autant qu’il est possible de le faire. On ne cultive pas encore de bananes au Québec, mais qui sait! Pour plusieurs petits producteurs locaux, ce geste fait une immense différence. Il leur garantit un accès au marché tout en leur évitant de longs déplacements pour placer leurs produits dans une autre région et leur assure une certaine sécurité de revenus pour poursuivre leurs opérations et investir dans leurs équipements et installations.
Récemment, le président de l’Union des producteurs agricoles (UPA) a rappelé « que la pandémie de COVID-19 avait fait réaliser à bien des gens à quel point certains secteurs de la vie quotidienne étaient reliés au sentiment de sécurité et que l’alimentation était l’un d’eux ». Pour favoriser l’achat local, Québec veut consacrer 23,4 millions $ à la stimulation de la demande pour des produits alimentaires québécois. Des campagnes publicitaires et des activités de promotion en magasins viendront valoriser l’appellation Aliments du Québec.
Chez la famille IGA Jodoin, tout au long de cette chronique, vous allez découvrir des gens pour qui, par la générosité de leur geste, favoriser l’achat local est un investissement dans le terroir agroalimentaire de notre région. On oublie souvent que 96 % du territoire de la MRC des Maskoutains est en zone agricole et que nous devrions en être fiers. La grande région de Saint-Hyacinthe, ce sont près de 1 200 entreprises agricoles et une très grande diversité de productions, dont plusieurs, plus petites, qui ne demandent pas mieux que de vous faire connaître leurs produits, une opportunité que leur offre la famille IGA Jodoin et le Journal Mobiles.
Quand on achète localement, on investit localement
L’achat local, le Panier Bleu, autant d’expressions clés qui répondent à la solidarité nécessaire en ces temps de pandémie, autant d’occasions de redécouvrir le patrimoine agricole et gourmand de notre grande région et les hommes et les femmes qui contribuent à nous nourrir ou à nous fournir les aliments essentiels du quotidien. Il existe également, en plus des producteurs et productrices agricoles ainsi que des transformateurs, des détaillants qui ont le désir de soutenir les familles agricoles, des gens de cœur, comme la famille Jodoin, mieux connue sous la marque IGA Jodoin.
Voilà des gens qui, comme plusieurs d’entre nous, se font un point d’honneur de soutenir l’investissement local comme vecteur de croissance pour notre communauté. Pour moi, il s’agit d’un geste qui me lie à cette communauté et, quand j’achète local, j’encourage l’investissement local. C’est donner un sens à la souveraineté alimentaire, à ce « nous » qui fait notre identité dans le respect des autres. C’est agir en pensant à ces familles de plusieurs générations, à ces emplois dans notre région, au travail d’un voisin ou d’une voisine, au projet de vie d’un homme, d’une femme, d’un enfant ou de plusieurs et à ces produits d’une qualité mondiale issus du grand terroir dans lequel nous vivons et pour lequel nous sommes invités à partager des valeurs de solidarité et de respect.
Le mot qui me plaît le plus, quand je parle d’achat local, c’est investir localement. C’est de penser que je vis dans un écosystème où chacun prend le temps de se soucier du partage d’un territoire qui est fait plus que géographiquement, mais aussi économiquement. C’est aussi de se questionner sur ce que nous voulons comme société. Investir localement, c’est démontrer que nous ne savons pas seulement nous adapter au changement, mais que nous sommes le changement, un changement durable.
Voici deux articles par Roger Lafrance traitant de producteurs locaux:
https://journalmobiles.com/chroniques/occupons-le-territoire/ferme-mont-vert-produire-de-la-fraicheur-a-longueur-dannee
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